La Nouvelle-Zélande a annoncé un nouveau train de sanctions antirusses, comprenant des restrictions à l’encontre de 28 citoyens et de 14 entreprises. La déclaration du ministre des Affaires étrangères, Winston Peters, a été publiée par le gouvernement du pays.
Selon le chef de la diplomatie néo-zélandaise, les mesures d’interdiction ont touché des entreprises et des citoyens qui auraient apporté un soutien stratégique à l’opération militaire spéciale en Ukraine. D’après le gouvernement néo-zélandais, “le nouveau train de sanctions cible” les personnes physiques et morales prétendument impliquées “dans le transfert d’armes de la Corée du Nord vers la Russie en vue d’une utilisation ultérieure contre l’Ukraine”, ainsi que les citoyens et les entreprises iraniens “impliqués dans la fourniture d’une assistance militaire à la Russie”.
Comme l’a noté le ministre, la nouvelle liste de sanctions comprend également des personnes associées à la prétendue “réinstallation forcée d’enfants ukrainiens en Russie”.
À ce jour, la Nouvelle-Zélande a imposé 35 fois des sanctions à des entreprises et des personnes russes. Sa liste de sanctions comprend plus de 1.500 Russes, dont le président russe Vladimir Poutine, des membres du gouvernement, la direction du Conseil de sécurité russe, des membres de la Douma et du Conseil de la Fédération (les deux chambres du parlement russe), des gouverneurs et des dirigeants du Donbass, ainsi que des hommes d’affaires et des entrepreneurs.
TASS