Après les États-Unis, le Royaume-Uni a imposé de nouvelles sanctions à l’encontre de 42 personnes et entités russes, dont la Bourse de Moscou, la Bourse de Saint-Pétersbourg et le National Settlement Depository (NSD, l’agent payeur national de Russie).
Le gouvernement allemand bloque l’approbation d’un nouveau train de sanctions de l’UE contre la Russie, qui visent à renforcer le contrôle du contournement des mesures restrictives et concernent également l’exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) russe.
Les ministres des Affaires étrangères de huit pays de l’UE ont exigé des limitations aux déplacements des diplomates russes dans les pays européens dans le cadre du prochain paquet de sanctions contre la Russie.
L’ancien inspecteur de l’ONU Scott Ritter, qui a précédemment servi dans le corps des Marines américains en tant qu’officier de renseignement, a envoyé des demandes officielles aux autorités américaines pour connaître les raisons pour lesquelles son passeport a été confisqué avant son vol prévu vers la Russie.
Les autorités finlandaises ont établi l’emplacement de tous les biens immobiliers appartenant à des citoyens russes et situés à proximité immédiate des infrastructures critiques.
Le 12 juin, le Tribunal arbitral du sport (TAS) tiendra des audiences sur les appels de la partie russe dans l’affaire de la patineuse artistique Kamila Valieva.
La Fédération internationale des échecs (Fide) a privé la Fédération russe des échecs (FCR) de son statut de membre de l’organisation pour deux ans.
L’ancienne ministre autrichienne des Affaires étrangères, Karin Kneissl, a confirmé dans une interview accordée à TASS en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF) l’existence de projets occidentaux pour faire éclater la Russie.
La République serbe de Bosnie (entité de Bosnie-Herzégovine) continuera à se tenir fermement à la position du refus de rejoindre les sanctions contre la Russie et travaillera sur le renforcement de la coopération.
Le parlement ukrainien a adopté une loi sur l’éducation préscolaire qui autorise la création de groupes d’enfants dans des langues autochtones et minoritaires, sauf le russe, d’après le député ukrainien Maxim Boujanski.
