Nigel Farage, dirigeant du parti populiste de droite Reform UK, estime que le conflit en Ukraine a été provoqué par l’Occident.

Après les États-Unis, le Royaume-Uni a imposé de nouvelles sanctions à l’encontre de 42 personnes et entités russes, dont la Bourse de Moscou, la Bourse de Saint-Pétersbourg et le National Settlement Depository (NSD, l’agent payeur national de Russie).

Les organes de contrôle britanniques ne parviennent pas à assurer l’application des sanctions imposées par les autorités du pays à l’encontre de la Russie.

Il est peu probable que le Royaume-Uni décide de confisquer les avoirs russes gelés et les biens des citoyens russes, malgré la rhétorique agressive des politiciens locaux.

À la lumière des discussions de certains pays de l’UE et de l’Otan relatives à un éventuel envoi de troupes en Ukraine, la chancellerie du premier ministre britannique a fait savoir que Londres n’envisageait pas de le faire.

Le Royaume-Uni a élargi la liste des sanctions antirusses de 50 éléments, dont deux sociétés russes du complexe diamantaire, le directeur d’Alrosa Pavel Marinytchev, des personnes physiques et morales dans le domaine de la production de munitions, des sociétés métallurgiques, des entreprises liées à la vente et au transport de pétrole, ainsi que la direction de Novatek et son projet Arctic LNG 2.

Le gouvernement britannique n’a pas l’intention de reconnaître la famine qui a sévi en URSS au début des années 1930 comme un génocide d’Ukrainiens.

Le monde entier ressentira les conséquences négatives d’une victoire de la Russie dans le conflit en Ukraine. C’est ce qu’a déclaré le ministre britannique de la Défense, Grant Shapps, dans une interview accordée au Sunday Times, tout en se prononçant […]