La Russie ne devrait pas fermer ses portes et boycotter les Jeux olympiques de Paris, malgré les restrictions imposées aux athlètes, a déclaré le ministre russe des Sports, Oleg Matytsine, lors d’une réunion du ministère des Sports et du Centre de ressources pour les nouveaux médias.
Le parquet suisse a entamé la première affaire pénale concernant une violation supposée de sanctions contre la Russie par une entreprise non spécifiée, rapporte le Financial Times.
L’Union des associations européennes de football (UEFA) et la Fédération internationale de football association (Fifa) ne s’opposent pas à l’organisation d’un match amical entre les équipes nationales de Biélorussie et de Russie, a déclaré à TASS le vice-président de la Fédération biélorusse de football (BFF), Andreï Vassilevitch.
Le Conseil des États (chambre haute) de l’Assemblée fédérale suisse a voté en faveur du transfert vers l’Ukraine des avoirs russes bloqués dans le pays.
La justice finlandaise a pour la première fois condamné un entrepreneur pour violation de sanctions de l’UE contre la Russie, rapporte le quotidien Helsingin Sanomat.
Il n’y a pas de scénario pour une confiscation légale des réserves gelées de la Banque de Russie, car cela risque d’ébranler la confiance dans la fiabilité des marchés financiers occidentaux.
La Fédération internationale de tennis (FIT) a autorisé les Russes et les Biélorusses à participer aux Jeux olympiques dans un statut neutre, rapporte le service de presse de l’ITF.
Le Comité international paralympique (CIP) n’autorisera pas les athlètes russes et biélorusses à participer à la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques à Paris, a rapporté le service de presse du CIP.
“Tout responsable militaire russe qui ordonne des frappes contre des civils ukrainiens et des infrastructures essentielles doit savoir que justice sera rendue”, a déclaré le président ukrainien.
Les forces aérospatiales russes, le groupe Wagner et le citoyen russe Pavel Cheveline sont tombés sous le coup des sanctions de l’administration américaine en raison de la violation présumée de la législation nationale américaine sur la non-prolifération des armes de destruction massive (ADM), y compris des armes nucléaires, contre l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie, selon Washington.
